MARCHER SANS ELLE
- jean charles devaux

- 2 nov.
- 1 min de lecture
Bonjour, ce poème n’est pas une prière ni un adieu. C’est la trace douce d’un amour qui ne demande plus rien, mais qui continue d’éclairer mes mots.
Prochaine publication le 25/11.
Elle est là, dans le bois d’un matin qui frémit,
Dans l’ombre d’un mot, dans le souffle d’un “oui”.
Elle est là, quand je doute, quand je tiens, quand je plie,
Elle est le feu discret qui rallume ma vie.
Je l’ai aimée sans bruit, comme on aime un miracle,
Comme on serre une étoile tombée d’un oracle.
Elle, je ne l’oublierais pas, je l’écrirais, je la sèmerais,
Dans chaque virgule, dans chaque poème jeté.
Et même si ses bras dorment ailleurs, loin des miens,
Mon cœur la garde, mais avance son chemin.
Je bâtis sans attendre, solide et sincère,
Une maison, un bois, une lumière.
Je me fais grand pour demain, sans détour,
Mais en moi, son écho reste amour.
Et peut-être qu’un jour, tournant une page,
Elle lira ma paix, mon courage.
©Poème écrit par Jean Charles DEVAUX

Whaou, très touchant et bouleversant. ❤️❤️
Très beau