HANTÉ AU CRÉPUSCULE
- jean charles devaux

- 2 oct.
- 1 min de lecture
Bonjour à toutes et à tous, ce poème est né en écoutant une chanson de Mr Jean Jacques Goldman.
Prochaine publication le 25/10.
Je repense à tes gestes, à ton regard, à ta voix,
À tout ce qui me lie à toi, à ce lien que je crois.
Chaque souffle, chaque pensée, chaque souvenir,
Se mêle au désir de te revoir, de te tenir.
Et quand le jour avance, que la lumière grandit,
Mon cœur s’agite encore, ton image m’envahit.
Même loin de toi, je sens ta présence vibrer,
Et dans ce manque ardent, je continue d’aimer.
Quand le jour commence à tirer sa révérence,
Une émotion familière et sincère me traverse en silence.
Celle d’une légère jalousie qui, si je la laisse faire,
Viendra hanter mes nuits, se glisser dans l’air.
Elle se nourrit d’images, pas toujours de nuages,
Mais de ses mains effleurant ton visage,
Ton corps, tes lèvres, avec douceur et tendresse,
Et la pire de toutes : celle qui me blesse.
Celle imaginant son corps rencontrer le tien,
Et moi, même au matin, je sens ton ombre me poursuivre,
Entre désir, manque et envie,
Prisonnier de ce feu qui jamais ne s’enfuit.
©Poème écrit par Jean Charles DEVAUX

Je ressens en lisant ce poème une certaine émotion de désespoir. Envie d'en savoir plus. Continue...
J'adore ,continue .